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Chez Francis Bourges
29 novembre 2020

65. Dans l’oasis

65. Dans l’oasis

Dans l'oasis

1er couplet

Déjà dans le désert l'aigle royal qui plane
Annonce le soleil
Ton esclave s'en va garder la caravane
A l'horizon vermeil
Fais descendre sur moi
Ton regard qui scintille
Oh ma belle Sara
Livre moi tes bras nus
Toi la plus belle fille
Que l'orient Fera

Refrain

Que ta lèvre de rose
Sur la mienne se pose
Je brave le simon (?)
Et les cieux embrasés
Par le désert de flamme
Que j'emporte en mon âme
Le souvenir brulant (bis)
De tes ardents baisers

2è couplet

Je chanterai tes yeux aux étoiles jalouses
Aux astres éblouis
Je confirai mes rêves aux tapis de pelouses
Le soir dans l'oasis
Partout je chanterai
Ta chevelure noire
Oh vierge de l'Iran
Ton doux nom est gravé
Sur le manche d'ivoire
De mon lourd Yatagan

3è couplet

Comme la fleur vermeil a besoin de rosée
Pour resplendir un jour
Comme il faut l'eau du ciel à la source épuisée
Il me faut ton amour
On sonne le départ
Ecoute ma charmante
Le son de ma guitare
Qu'un mot de toi me mette
Au coeur l'oiseau qui chante
pour les élus d'Allah

 

http://cahier.chansons.free.fr/dans-l-oasis.shtml

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27 novembre 2020

66. Mignon

66. Mignon

157 Mignon

http://cahierschansons.free.fr/CC/spip.php?article172

Ambroise THOMAS (1811 – 1896)
Mignon (1866)
- «Elle ne croyait pas, dans sa candeur naïve»
Récit et air de Wilhelm

Vidéo ici : http://www.youtube.com/watch?v=OHr9Jul9uTI

Elle ne croyait pas, Wilhelm's aria from Mignon

Récitatif :

Étrange regard!
Ah! mieux que ma raison le coeur de ce vieillard
Console cet enfant par ses soins ranimée!
J'ai deviné trop tard le secret de Mignon;
Hélas! elle sommeille, et prononce mon nom.

Air :

1
Elle ne croyait pas, dans sa candeur naïve,
Que l'amour innocent qui dormait dans son coeur,
Dut se changer un jour en une ardeur plus vive
Et troubler à jamais son rêve de bonheur.

Refrain 
Pour rendre à la fleur épuisée
Sa fraîcheur, son éclat vermeil,
Ô printemps, donne-lui ta goutte de rosée!
Ô mon coeur, donne-lui ton rayon de soleil!

2
C'est en vain que j'attends un aveu de sa bouche,
Je veux connaître en vain ses secrètes douleurs,
Mon regard l'intimide et ma voix l'effrouche,
Un mot trouble son âme et fait couler ses pleurs!

 

25 novembre 2020

67. Elle

67. Elle

Non trouvé encore

23 novembre 2020

68. Si j'étais roi : J'ignore son nom sa naissance

68. J'ignore son nom, sa naissance

Air extrait de l'acte 1 de l'opéra-comique en trois actes
"Si j'étais roi" d'Adolphe Adam (1803-1856)

ZÉPHORIS
J'ignore son nom, sa naissance ;
Quand, éperdu, dans l'onde je la vis,
Sa seule robe d'innocence
Était le flot auquel je la ravis.
Elle était belle,
Je la sauvai ;
Et voilà d'elle
Ce que je sais :
Peut-on demander à l'aurore,
Sortant de son lit immortel,
Si le doux rayon qui la dore
Lui vient de la terre ou du ciel?

En la cherchant, je n'ai pour guides
Que son image et ce modeste anneau,
Qui glissa de ses doigts humides
Et que je veux garder jusqu'au tombeau.
Quand je soupire,
Le pauvre anneau
Semble me dire:
Cherche au hameau.
L'image me dit, au contraire :
Cherche loin du monde réel ;
Je ne puis habiter la terre
Puisque les anges sont au ciel.

Paroles trouvées ici :
http://www.murashev.com/opera/Si_j'%C3%A9tais_roi_libretto_French_Act_1

Fichier mp3 ici : 
https://www.europeana.eu/en/item/2048401/item_U6N6FGJYQE3H7335WOFQB5WSV6QK67JH

et ici :
http://www.phonobase.org/audio/AC-2010/2010-02_3525.mp3

68 Si j'tais roi 480px-Scene_from_'Si_j'étais_roi'_by_Adolphe_Adam_-_Gallica

21 novembre 2020

69. Le Parjure

Le Parjure. Chant dramatique.
Paroles d' Edouard Knoepflin ; musique de Marc Chautagne
Paris : Petit aîné, [1857]

[Texte à venir]

69 Le Parjure md11316062362

Notice au catalogue de la BNF :
https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb429061408

Partition en pdf : https://raddo-ethnodoc.com/raddo/document/245897

69_Le_parjure

 

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19 novembre 2020

70. Dieu nous garde un Marceau

Dieu nous garde un Marceau ! Chanson
Paroles de Lucien Delormel, musique de Léopold Gangloff 
Publication : Paris : G. Ondet, [1888]
créée par Marius Richard à la Scala en 1888

1
Les Prussiens assiégeaient Verdun
En dix sept cent quatre vingt treize
Parmi nos officiers, pas un
Ne voulait quitter la fournaise
Mais il fallait capituler
Et Marceau simple capitaine
Pour cela se vit désigné
Ah dit-il d’une voix hautaine
Refrain
Pour l’honneur de notre drapeau
Pour notre liberté chérie
Ah que Dieu nous garde un Marceau
Pour l’honneur de notre drapeau
Pour la grandeur de la patrie
Ah ! Que Dieu nous garde un Marceau

2
Mais c’est son devoir il le faut
En brisant alors son épée
Pour moi sans armes dit Marceau
La nouvelle sera portée

Car je ne veux pas qu’il soit dit
Qu’ayant un sabre pour me battre
Je l’ai remis à l’ennemi
Sans jusqu’à la mort combattre
3
Marceau pleura comme un enfant
Lorsqu’à l’étranger il dut dire
À vos soldats Verdun se rend
C’est moi qui viens vous en instruire
L’Allemand dit pourquoi pleurer
Marceau dit d’une voix franche
Rien ne pourra me consoler
Non rien si ce n’est la revanche
Refrain final
La victoire soleil nouveau
Peut seule ranimer ma vie
Ah que Dieu nous garde un Marceau (bis)
Pour l’honneur de notre drapeau
Pour la grandeur de la patrie
Ah que Dieu, Dieu nous garde un Marceau

Notice au catalogue de la BNF
https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb43002993p

Texte récupéré ici :
https://hal.archives-ouvertes.fr/medihal-01833605/

70 Dieu nous garde un Marceau

Illustration et renseignements  ici :
https://raddo-ethnodoc.com/raddo/titreoff/8464
17 novembre 2020

71. Ninon

71. Ninon

Ninon : chanson gavotte pour piano / Georges Bachmann ; [ill. par] Ch. M. 1894

Description  Titre uniforme : Bachmann, Georges (1848-1894). Compositeur. [ Ninon . Piano] ???
15 novembre 2020

72. Les Cerises

Les Cerises

La saison des cerisiers

Voici la saison des cerises
Qui renaît pour les amoureux
Et mon cœur sur l’aile des brises
S’envole vers les pays bleus
Du cerisier de ma jeunesse
Je crois revoir les fruits mûrir
Et Rose, ma folle maîtresse
Avec moi venir les cueillir

Refrain

Du printemps en fleur les premières brises
Soufflent dans la plaine et sur les coteaux
Il faut aller voir mûrir les cerises
Pour les amoureux et pour les oiseaux

2ème Couplet

J’avais deux ans de plus que Rose
Peu d’esprit, Rose l’avait tout
Je ne savais bien qu’une chose
Et c’était de l’aimer beaucoup
La voir, l’adorer, le lui dire
Etait un besoin pour mon cœur
Dans son baiser, dans son sourire
Je voyais briller mon bonheur

Refrain

3ème Couplet

Puis apercevant une échelle
Je grimpais sur le cerisier
D’où je souriais à ma belle
Qui me tendait son tablier
Puis de ces fruits perles vermeilles
Je lui faisais pour l’amuser
Des colliers, des boucles d’oreilles
Qui ne lui coûtaient qu’un baiser

Refrain

4ème Couplet

Sur le passé que rien n’efface
J’aime surtout à revenir
Malgré le temps, malgré l’espace
Tout renaît dans mon souvenir
A l’âge où la vie est si rose
Tout me rappelle mes beaux jours
Je me souviens toujours de Rose
Et de l’arbre de nos amours.

Refrain 

Texte trouvé ici :

http://www.philippemorize.com/frontoffice/index.asp?id=292

Notice au Catalogue de la BNF ?

https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb17828291j

13 novembre 2020

73. La Poitrinaire

73. La Poitrinaire

La poitrinaire

Mon Dieu, mon Dieu, exauce ma prière
Entends, entends mes douloureux accents
Je suis bien jeune et je suis poitrinaire
Je vais mourir et je n’ai que quinze ans
Délivre moi de cette maladie
Ferme la tombe qui va m’ensevelir
Je n’ai pas vu le printemps de ma vie
Dieu tout puissant, ne me fait pas mourir. (bis)

Je sais pourquoi tu me laisses souffrante
Tu n’es pas le dieu de ma religion
Tu m’as maudis car je suis protestante
Et n’aurai pas ta bénédiction
Mais à tout prix il faut que je l’obtienne
Il n’y a que toi qui puisses me secourir
Si j’en reviens je me ferai chrétienne
Dieu tout puissant, ne me fait pas mourir. (bis)

Tu sais, mon Dieu, que mon malheureux frère
Est parti pour un lointain pays
Tu sais mon Dieu en qui mon cœur espère
Oh ! Dis moi donc, reverra-t-il Paris
Auprès de moi, reprendra-t-il sa place
Dans l’océan ira-t-il s’engloutir
Mais s’il revient il faut que je l’embrasse
Dieu tout puissant, ne me fait pas mourir. (bis)

Ainsi parlait une jeune colombe
A la voix douce, au regard langoureux
Et maintenant elle est dans une tombe
A la nature elle a fait ses adieux
Pourquoi faut-il qu’une vertu si chère
Dans une tombe aille s’ensevelir
Mais la vertu n’est pas d’être sur terre
Dieu tout puissant, tu l’as donc fait mourir. (bis)

 Texte trouvé ici :

https://www.philippemorize.com/1ere-partie,518.html

 

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Chez Francis Bourges
  • Francis Bourges a effectué son service militaire au 71e R.I. de Saint-Brieuc de 1895 à 1898. Il a recueilli dans un cahier les chansons que l'on chantait dans ce régiment. Ce blog restitue ce travail et ce qui en reste aujourd'hui sur la toile.
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